Nos engagements

Nos engagements

La première exigence du cabinet est de fournir à nos clients un service de qualité que se soit sur un plan technique, en terme de stratégie d’action et de compétences juridiques aussi bien que sur un plan humain.

Nous attachons en effet une importance particulière à la qualité de la relation avec le client et au lien de confiance qui doit sceller notre collaboration. 

Nous avons le souci d’être joignable et disponible afin de répondre le plus rapidement possible aux sollicitations de nos clients.

Nos prestations sont personnalisées et adaptées aux problématiques juridiques particulières rencontrées.

La politique tarifaire du cabinet est claire et transparente et les honoraires correspondent réellement aux diligences qui sont effectuées.

La première exigence du cabinet est de fournir à nos clients un service de qualité que se soit sur un plan technique, en terme de stratégie d’action et de compétences juridiques aussi bien que sur un plan humain.

Nous attachons en effet une importance particulière à la qualité de la relation avec le client et au lien de confiance qui doit sceller notre collaboration. 

Nous avons le souci d’être joignable et disponible afin de répondre le plus rapidement possible aux sollicitations de nos clients.

Nos prestations sont personnalisées et adaptées aux problématiques juridiques particulières rencontrées.

La politique tarifaire du cabinet est claire et transparente et les honoraires correspondent réellement aux diligences qui sont effectuées.

Principes déontologiques

En tant qu’avocat, nous sommes soumis à une réglementation stricte, caractérisée par une déontologie forte et une discipline exigeante.

L’ordre des avocats veille scrupuleusement au respect de nos règles et dispose d’un pouvoir de sanction, en cas de méconnaissance de l’un de nos principes. Ce contrôle effectif, constitue un atout et une garantie sérieuse pour les justiciables, notamment par rapport à d’autres prestataires de services juridiques, qui ne sont pas soumis aux mêmes exigences.

Le cabinet se fait fort de respecter les trois grands principes déontologiques de la profession d’avocat que sont l’indépendance, la loyauté et la confidentialité.

Le principe d’indépendance : le cabinet conseille et défend ses clients en toute indépendance, sans prendre en compte un quelconque intérêt personnel ni une quelconque pression extérieure.

Le principe de loyauté : le cabinet doit éviter toute situation pouvant conduire à un conflit d’intérêts. Il ne peut dès lors conseiller ni défendre des parties dont les intérêts sont contradictoires ou susceptibles de s’opposer.

Le principe de confidentialité et le secret professionnel : le cabinet est soumis au strict secret concernant les informations qu’il est susceptible de connaître ou d’apprendre par les échanges entretenus avec ses clients. Cette obligation de confidentialité est étendue dans la mesure où elle s’applique non seulement aux données propres aux clients mais également à celles qui concerne leur(s) partenaire(s), leur(s) débiteur(s) ou encore toute autre personne impliquée dans le procès, le litige ou l’accord qui concerne ses clients.

Important à savoir également :

Le cabinet, comme tous les cabinets d’avocats, a souscrit une assurance responsabilité civile professionnelle, destinée à couvrir les éventuels sinistres que pourraient être amenés à subir ses clients en cas de faute, d’omission, ou de négligence du cabinet. Le plafond de garantie est important puisqu’il s’élève (au jour de la rédaction du présent), à la somme de 4.000.000€. Ce plafond constitue un vrai gage de sécurité et de tranquillité pour tous les clients du cabinet, qui pourraient ainsi être intégralement couverts de leurs préjudices en cas de difficulté.

Enfin, outre un cursus universitaire exigeant afin de devenir avocat (au minimum 4 ans de formation en droit, suivi d’un examen d’entrée sélectif à l’E.F.B – Ecole de Formation au Barreau –  puis 18 mois d’enseignement au sein de cette école), les avocats ont tout au long de leur exercice professionnel, l’obligation de suivre une formation continue d’au minimum 20h par an.

En tant qu’avocat, nous sommes soumis à une réglementation stricte, caractérisée par une déontologie forte et une discipline exigeante.

L’ordre des avocats veille scrupuleusement au respect de nos règles et dispose d’un pouvoir de sanction, en cas de méconnaissance de l’un de nos principes. Ce contrôle effectif, constitue un atout et une garantie sérieuse pour les justiciables, notamment par rapport à d’autres prestataires de services juridiques, qui ne sont pas soumis aux mêmes exigences.

Le cabinet se fait fort de respecter les trois grands principes déontologiques de la profession d’avocat que sont l’indépendance, la loyauté et la confidentialité.

Le principe d’indépendance : le cabinet conseille et défend ses clients en toute indépendance, sans prendre en compte un quelconque intérêt personnel ni une quelconque pression extérieure.

Le principe de loyauté : le cabinet doit éviter toute situation pouvant conduire à un conflit d’intérêts. Il ne peut dès lors conseiller ni défendre des parties dont les intérêts sont contradictoires ou susceptibles de s’opposer.

Le principe de confidentialité et le secret professionnel : le cabinet est soumis au strict secret concernant les informations qu’il est susceptible de connaître ou d’apprendre par les échanges entretenus avec ses clients. Cette obligation de confidentialité est étendue dans la mesure où elle s’applique non seulement aux données propres aux clients mais également à celles qui concerne leur(s) partenaire(s), leur(s) débiteur(s) ou encore toute autre personne impliquée dans le procès, le litige ou l’accord qui concerne ses clients.

Important à savoir également :

Le cabinet, comme tous les cabinets d’avocats, a souscrit une assurance responsabilité civile professionnelle, destinée à couvrir les éventuels sinistres que pourraient être amenés à subir ses clients en cas de faute, d’omission, ou de négligence du cabinet. Le plafond de garantie est important puisqu’il s’élève (au jour de la rédaction du présent), à la somme de 4.000.000€. Ce plafond constitue un vrai gage de sécurité et de tranquillité pour tous les clients du cabinet, qui pourraient ainsi être intégralement couverts de leurs préjudices en cas de difficulté.

Enfin, outre un cursus universitaire exigeant afin de devenir avocat (au minimum 4 ans de formation en droit, suivi d’un examen d’entrée sélectif à l’E.F.B – Ecole de Formation au Barreau –  puis 18 mois d’enseignement au sein de cette école), les avocats ont tout au long de leur exercice professionnel, l’obligation de suivre une formation continue d’au minimum 20h par an.